La confiance en Dieu : voilà le message de l'Evangile.

Publié le par Parcours Zachée

Prendre Jésus dans sa barque

 

Pour ceux qui construisent leur barque embarquons pour le 2ème volet

Si l’homme est en charge de la Création, comme nous l’avons vu dans le premier enseignement, comment savoir que nos actions sont orientées positivement

pour participer réellement à la création et non à sa destruction ? En effet, agir n’est pas nécessaire, agir

bien, c’est-à-dire dans le sens du développement de la création, ce peut être aussi agir contre elle. Comment savoir ?

La notion de bien commun est un critère infaillible pour s’orienter. Certes, la notion est un peu difficile au premier abord, mais elle vaut la peine d’être bien comprise parce qu’elle donne tout son sens et tout son sel à l’action du chrétien. Nous allons dans un premier temps expliquer d’où vient cette notion, comment elle s’enracine dans l’anthropologie chrétienne, avant d’en donner le contenu et de la comparer avec d’autres critères de discernement comme « l’intérêt général ».

 

Le sens de nos actions

Qu’est-ce qui fait que nos actions quotidiennes ont du sens ? Cette question ne concerne pas seulement le chrétien, mais tous les hommes. Il n’y a qu’à observer notre entourage. Pourquoi agissons-nous ? Qu’est-ce qui donne du sens à notre vie professionnelle, à nos efforts, à nos engagements ? Pour le chrétien, cette question trouve sa raison d’être et sa réponse dans la doctrine sociale. Si nous la posons, c’est parce que nous savons que nous sommes acteurs de la création et que nous cherchons à savoir si nous le sommes vraiment. Pour obtenir la réponse, il faut  poursuivre notre compréhension de l’anthropologie chrétienne, et bien comprendre comment on peut évaluer la valeur de nos actes à partir du principe de base : nous sommes faits à l’image et à la ressemblance du Seigneur.

 

Publié dans Enseignement

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